Le blog de Jean-Luc Houédanou

L’android nouveau est arrivé. Et il s’agit d’une grosse mise à jour, surtout du point de vue cosmétique. En effet, la 5e version d’Android, L,  propose une interface, Material design faite de tons pastels et de graphismes tout en subtilité, afin de répondre aux exigences du flat design. J’irais jusqu’à dire que cette version d’Android fait le pont entre l’os mobile de Google et les canons du design mobile moderne. Du chemin a été parcouru depuis les interfaces austères de gingerbread… mais la fragmentation d’Android aidant, cette évolution exclut monsieur et madame tout le monde-oui, vous,  moi-qui n’avons pas envie de vider notre compte en banque pour acheter le dernier Samsung ou HTC (qui, de toute façon, sera passé de mode dans un an) afin de pouvoir utiliser android L. Pour vous donc,  amis de la plèbe,  voici comment avoir un peu d’Android L sur votre appareil propulsé par Android 4.0 et +...

Si vous avez prévu un déplacement dans l’un ou l’autre des quartiers de la perle des lagunes – ce surnom n’a jamais été autant approprié -, et que vous n’êtes de ces « happy few » ayant à leur disposition une WaterCar Panther , ce qui va suivre vous intéressera surement. En effet, une carte collaborative a été mise en ligne par le bloggeur Israël Yoroba, afin de localiser les points d’Abidjan qu’il faut éviter, à moins de vouloir tester l’étancheité de votre moyen de locomotion. Cliquez ici pour la consulter (ou y contribuer)   ou dans la fenêtre ci dessous PS  : je fais beaucoup d’humour sur le sujet, mais le problème est réel et grave. Cliquez ici pour apporter votre contribution à l’action du groupe civsocial en cette période où plusieurs familles et individus se retrouvent démunis à cause des inondations;

Soyez honnêtes, combien d’entre vous se reconnaissent dans la vidéo ci dessous ? Non, pas moi. Il est de notoriété publique que j’ai un intérêt plutôt limité pour Facebook, comme l’image ci dessous le montre.   Mais je ne suis ni antisocial, ni un de ceux qui exècrent Facebook . Penser ainsi reviendrait à jeter le bébé avec l’eau du bain, le canard en plastique (ainsi que le bain douche et le talc du pauvre nourrisson). Je considère Facebook comme un outil de communication simple et efficient : prenez l’exemple de la page facebook civsocial qui, pendant la crise ivoirienne, a pu sauver des vies et qui, de nos jours, continue à mobiliser de part et d’autre du monde pour de nobles causes. Cela dit, Facebook est aussi un vecteur non négligeable d’affabulations, de mensonges et d’histoires imaginées par des individus qui souhaitent présenter à leurs amis virtuels une vision idyllique, bien éloignée de leur misère quotidienne. Mais le véritable problème n’est pas Facebook. C’est plut...

Il existe peu ou prou de simples consommateurs du web. La démocratisation des moyens de création de contenu web aidant, l’internaute  moyen est devenu soit un acteur ( par le biais de son blog ou de son activité sur les réseaux sociaux ). Toutefois, il existe une portion non négligeable d’individus souhaitant obtenir une présence en ligne : certains pour se faire connaitre et connaitre d’autres personnes, d’autres pour vendre des produits et des services et le reste pour être dans l’esprit du temps en étant, et je cite, “ sur le web”. Cela dit, bon nombre d’individus exprimant les besoins précédemment cités ont des connaissances limitées (voire inexistantes) en ce qui concerne les langages et les outils permettant de créer un site web. La question est donc  “Comment enseigne t on la création de site web à ces oersonnes?” .   Voici quelques pistes de réponse, basées sur mon expérience en la matière. Mettez vous au niveau de votre auditoire Supposons qu’un individu en blous...